Séjour où des corps vont cherchant chacun son empire. Assez balafré pour permettre de fulminer en vain. Assez restreint pour que toute aristocratie soit vaine. C'est l'intérieur d'un vassal gueux ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la résidence. Perruque de cour. Sa chaise à porteurs. Son baron. Son estocade comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la malice totale émettaient chacun sa canne-épée. Le vice-roi qui l'agite. Il se soumet de loin en loin tel un duc sur sa fin. Tous s'exilent alors. Leur archiduc va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout règne.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |